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Fire Emblem
27 juillet 2005

Images de Eliwood et Ninian


Images de Eliwood et Ninian


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27 juillet 2005

Images de Erk et Serra


Images de Erk et Serra


27 juillet 2005

Farina - Hector Rang C Hector : Hé Farina,


Farina - Hector

Rang C

Hector : Hé Farina, attendez !

Farina : Qu’y a-t-il ? Ah Lord Hector ! J’allais justement me battre et faire ce pour quoi on me paie…

Hector : A propos d’honoraires… Je me suis renseigné sur les prix courants payés aux mercenaires d’Ilia…

Farina : Et ?

Hector : Ils sont généralement payés par combat, sans bonus ni autre prime. D’après ma source, 20000 écus, c’est beaucoup trop !

Farina : Mais…

Hector : La rémunération dépend du grade du chevalier, non ? A votre niveau, vous valez maximum 2000 écus.

Farina : Vous plaisantez ! J’en vaux au moins 4000 !

Hector : Quoi ? 4000 ?

Farina : Euh…

Hector : A quoi rimaient ces 20000 écus ? Vous vouliez m’escroquer, hein !?

Farina : Non, pas du tout ! Je ne ferais jamais une chose pareille ! C’est juste que, compte tenu de mes aptitudes, je m’étais sentie sous payée.

Hector : Regardez moi dans les yeux et répétez moi ça !

Farina : Ne s’agit il pas d’un emploi a très long terme ? J’ai mon pégase à nourrir et à entretenir !

Hector : Très bien. Dites moi ce que mange un pégase ? Des carottes ?

Farina : Vous dites n’importe quoi ! Un pégase n’est pas un cheval !

Hector : Bien sûr que c’est un cheval !

Farina : Faux ! Les Pégases sont de nobles animaux, c’est pourquoi ils se nourrissent de nobles carottes !

Hector : C’est ce que je viens de dire, des carottes !

Farina : Non, non et non ! Ecoutez, je vais me contenter de faire le travail pour lequel je suis payée ! Ça devrait suffire n’est ce pas ? Laissez moi partir maintenant !

Hector : Non attendez, hé !

Rang B

Farina : Mm…

Hector : Hé Farina, nous devons parler ! Mais… Qu’avez vous ?

Farina : … Hem ? Ah Lord Hector !

Hector : Vous semblez exténuée. Vous devriez vous reposer. Je n’ai aucune envie que vous vous écrasiez sur moi !

Farina : Ne me faites pas le numéro de l’employeur attentionné ! Avec moi, ça ne prend pas ! Hors de question que je vous rembourse l’argent que j’ai gagné !

Hector : Mais il n’est pas question d’argent, idiote ! Si vous persistez à dire ces choses, tout le monde va finir par vous soupçonner !

Farina : Pff et alors ? Tant que je suis payée ? Ceux qui n’attachent aucune importance à l’argent n’ont jamais été dans le besoin.

Hector : C’est peut être vrai, mais… Il y a des choses qui ne s’achètent pas !

Farina : Pourquoi devrais je m’intéresser à ce genre de choses ? Je dois vous quitter ! Murphy ! Partons !

Hector : Non ! Attendez !

Farina : Ah… Mais… Aaaaah !

Hector : Oh Non !

Farina : Oh…

Hector : Désolé, ça va ?

Farina : Vous savez pertinemment que je suis épuisée ! Alors pourquoi me faire des avances maintenant ?

Hector : Vous vous méprenez ! Attendez ! J’ai dis que j’étais désolé ! D’abord, c’est vous qui avez trébuché ! Oui, c’est vous m’êtes tombée dessus ! En plus, vous m’avez fait mal ! Vous et Florina, vous… Je ne comprends pas.

Farina : Et bien, c’est du joli ! Vous pestez contre moi et aussi contre ma soeur !

Hector : Ça suffit maintenant ! Je ne veux plus vous voir !

Farina : Oh j’ai compris, vous nous avez vue toutes les trois. Fiora, Farina et Florina, les beautés d’Ilia ! Vous nous vouliez toutes les trois, c’est ça !

Hector : Vous avez une imagination débordante.

Farina : Les nobles sont des êtres si capricieux ! Vous traitez les mercenaires comme de vulgaires objets !

Hector : Farina ! Ce n’est pas ce que vous croyez ! Cette femme prend ses fantasmes pour la réalité !

Rang A

Farina : Ooh… Peut-être que j’en ai trop fait ! Je me sens… si faible !

Hector : Ah Farina ! Vous êtes là ! A propos de ce que vous disiez tantôt… Quoi ? Farina ? Farina !

Farina : Florina…

Hector : Farina ? Qu’y a t’il ? Vous êtes blessée ?

Farina : Aaaaah…

Hector : Ça va mieux ?

Farina : Comment ? Je…

Hector : Vous aviez perdu connaissance. Vous m’avez fait une telle frayeur ! Comment vous sentez vous ?

Farina : Bien merci. Je vais bien. Je suis sûre que je m’en serais aussi bien tirée sans vous !

Hector : Comment faites vous pour être toujours aussi charmante ? Quoiqu’il en soit, vous devriez vous ménagez un peu ! S’il vous faut de l’aide, vous n’aurez qu’à demander.

Farina : A quoi bon ? Qui voudrait aider une mercenaire ?

Hector : Mais…

Farina : Les mercenaires ne sont que des gages qu’on achète contre des écus, nous savons qu’il ne faut pas compter sur l’amitié ! Nous ne faisons confiance qu’à l’argent.

Hector : Et c’est reparti…

Farina : Puisque vous parlez de partir, adieu…

Hector : Non attendez !

Farina : Quoi encore ? Pourquoi insister ? Laissez moi partir !

Hector : Allez vous vous calmer ? Vous devriez limiter vos déplacements, en tout cas jusqu’à ce que vous repreniez des forces. Restez ici. Je veux être là au cas où vous perdriez encore connaissance.

Farina : Non, je m’en vais ! C’est une ruse pour réduire mon salaire !

Hector : Ah, je vous répète que ce n’est pas pour cela ! Je ne peux pas abandonner quelqu’un dans cet état !

Farina : Mais… Mais…

Hector : Vous avez terminé ? Rassurez vous, je suis plus fort que les autres. Je vous aide parce que j’en ai envie, ce n’est pas par intérêt.

Farina : Dans ce cas, j’accepte !


27 juillet 2005

Farina - Fiora Rang C Fiora : Farina… Puis-je


Farina - Fiora

Rang C

Fiora : Farina… Puis-je vous parler ?

Farina : Bien sûr ! Ces derniers temps, je vous ai trouvée très distante…

Fiora : Je vous dois des excuses… J’ai été un peu sévère lors de notre dernière conversation.

Farina : Bah, c’est déjà oublié. Et puis, je l’avais bien mérité. Je ne pense qu’à l’argent et je néglige tout le reste.

Fiora : Non, c’est moi qui vous dois des excuses. Vous avez raison de dire que je suis naïve. Bien sûr que les mercenaires doivent se soucier d’être payés à leur juste valeur !

Farina : Oublions cette histoire. J’ai été très stupide ! Ce n’est pas de votre faute.

Fiora : Comment pouvez-vous dire cela ? J’ai été une vraie peste avec vous, alors que vous aviez raison ! Pourquoi vous acharnez-vous à le nier !?

Farina : Je vous le répète, vous n’êtes pas la responsable ! Je me suis mise dans tous mes états alors que j’avais tort !

Fiora : Cessez de me contredire ! Tout est de ma faute ! J’aurais dû m’efforcer de comprendre votre cupidité et votre manque de sensibilité !

Farina : Maintenant, vous allez m’écouter, tête de mule ! Je… Eh !

Fiora : C’est étrange… Que veut dire cette querelle ?

Farina : Mm… Je ne sais pas.

Fiora : Dites-moi, Farina... Vous savez que je vous adore, n’est-ce pas ?

Farina : Oui, je le sais. Je vous connais depuis toujours, non ?

Rang B

Fiora (seule) : Je me demande pourquoi ça se termine toujours par une dispute. C’est de ma faute. Il n’y a pas pire sœur que moi dans tout Ilia…

Farina (elle arrive) : Vous recommencez à vous morfondre dans votre coin !

Fiora : Farina ?

Farina : Vous vous enfermez dans votre petit monde et vous souffrez en silence. Vous croyez toujours que c’est vous la coupable, en êtes-vous consciente ?

Fiora : Mais…

Farina : Souvenez-vous du temps où je n’étais qu’une simple écuyère pégase… Ma brigade d’entraînement avait, un jour, failli mourir dans une manœuvre… Vous avez laissé en plan votre mission et vous êtes descendue en piqué pour nous sauver…

Fiora :

Farina : La maison de Biran a exigé de vous une somme astronomique pour vous punir de ne pas avoir respecté les clauses du contrat. Aujourd’hui, vous n’avez toujours pas remboursé le montant de cette dette, n’est-ce pas ?

Fiora : Eh bien, je… Ce n’est pas si grave. C’était ma décision, et je l’assume.

Farina : Et là est le problème ! Vous êtes trop idéaliste ! Qui serait assez fou pour faire une chose pareille ? A l’époque, je faisais mes premières armes ! Vous n’auriez jamais dû intervenir !

Fiora : Farina…

Farina : Mais… J’étais contente, bien sûr. C’est pourquoi, je veux vous aider. (elle s’avance) Acceptez ceci.

Fiora : Qu’est-ce que c’est ?

Farina : Je suis la cavalière pégase la mieux payée de la région. Je n’ai pas mis bien longtemps pour rassembler cette somme. Utilisez cet argent pour payer cette dette qui pèse sur vous !

Fiora : Farina ! Vous vous inquiétiez pour cela ?

Farina : Bien entendu… Après tout, si vous avez des dettes, c’est à cause de moi. Et cet incident a eu un impact néfaste sur votre carrière !

Fiora : Ne soyez pas ridicule ! Nous sommes de sœurs, non ? Vous ne devriez pas vous soucier de ces choses-là !

Farina : Votre idéalisme et votre candeur m’affligent ! Mais c’est ce qui fait de vous la sœur que j’adore.

Fiora : Farina…

Rang A

Farina : Ohé !

Fiora : Qu’y a-t-il, Farina ?

Farina : Avez-vous observé mes prouesses et faits d’armes ? Je mérite vraiment tout l’argent que je gagne !

Fiora : Ah ah ah. Je suppose. Vous êtes devenue une prodigieuse cavalière pégase.

Farina : Vous projetez par la suite de retourner à Ilia, n’est-ce pas ?

Fiora : Oui, c’est ce que je compte faire.

Farina : Eh bien, n’oubliez pas de m’emmener avec vous !

Fiora : Comment ? Farina… Vous voudriez rentrer à la maison avec moi ?

Farina : Ma sœur a besoin de moi, non ? La gestion de vos finances n’a jamais été votre point fort, non ? Sans moi, vous risqueriez donc la faillite ! Je n’ai pas vraiment le choix !

Fiora (elle s’avance) : Farina… Merci… Je suis si contente. J’ignorais que vous étiez… si généreuse.

Farina : Bah, vous avez toujours été une grande sentimentale ! Et vous avez toujours été très naïve… Il ne s’agit pas de bénévolat ! Je veux dix pour cent des parts !

Fiora : C’est une plaisanterie !?


27 juillet 2005

Soutiens de Farina - Farina et Hector - - Farina


Soutiens de Farina

- Farina et Hector -

- Farina et Fiora -


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27 juillet 2005

Isadora - Marcus Rang C Isadora : Général Marcus


Isadora - Marcus

Rang C

Isadora : Général Marcus !

Marcus : Isadora…

Isadora : Je vous demande pardon, mon général. J’ai quitté Lady Eleanora pour venir vous rejoindre !

Marcus : Cessez de vous inquiéter. C’était là le souhait de Lady Eleanora, non ? C’est une femme obstinée.

Isadora : C'est-à-dire que…

Marcus : Qu’est-ce que cela veut dire ? Ce n’était donc pas un ordre. Un chevalier de Pherae se doit de rester à son poste !

Isadora : Oui, monsieur ! C’est dûment noté !

Rang B

Isadora : Oh ! Général Marcus !

Marcus : Isadora. C’est gentil d’être venue. Puisque vous semblez avoir du temps libre, que diriez-vous de vous entraîner avec moi ?

Isadora : Non, merci… Général Marcus, je m’inquiète pour Lord Eliwood.

Marcus : Mm… Il se bat avec acharnement…

Isadora : Oui, mais il semble abattu. Il vient de perdre son père. Sans avoir eu le temps de le pleurer, il a été entraîné dans ce rude combat. N’est-ce pas trop pour un seul homme ?

Marcus : Oui, mais nous ne sommes pas en mesure de porter ce fardeau pour lui. Notre aide n’est qu’un rideau de fer contre la tempête qui ravage son for intérieur… C’est triste, mais…

Isadora : Oui. C’est pour cela que nous devons faire l’impossible. Nous devons ramener Lord Eliwood vivant à Lady Eleanora.

Marcus : Je dois partir. Vous y arriverez sans moi, n’est-ce pas ?

Isadora : Ne vous en faites pas, général Marcus ! Je suis une chevalière de Pherae. Je vais faire mon devoir et revenir saine et sauve.

Marcus : Bien, Isadora. Pherae a, plus que jamais, besoin de vous…

Isadora : Oui, Lord Marcus. Je vais accomplir mon devoir en ces heures difficiles comme je l’aurais fait en temps de paix. Adieu ! (elle part)

Marcus (seul) : Mm…

Rang A

Marcus : Isadora !

Isadora : Ah, général Marcus.

Marcus : Comme moi, vous êtes un fidèle sujet de Pherae. L’avenir de ce grand pays repose sur nos épaules. Nous avons le même poids à porter, bien que je sois un homme et vous une femme.

Isadora : Oui, mon général. Je le sais bien.

Marcus : Cependant… gare au surmenage. Sachez que vous pouvez toujours compter sur moi. Il n’y a pas de honte à demander de l’aide.

Isadora : Je sais…

Marcus : C’est tout ce que j’avais à vous dire. Je dois y aller.

Isadora : Bien sûr… Mais avant, puis-je vous dire une chose ?

Marcus : Oui ?

Isadora : Je vous remercie, général Marcus. Vous ne m’avez jamais rabaissée sous le prétexte que je suis une femme… Vous m’avez toujours traitée comme un chevalier de Pherae de premier ordre. Si vous aviez été trop indulgent ou protecteur envers moi, je ne serais pas en vie aujourd’hui.

Marcus :

Isadora : Nous allons tous les deux revoir Pherae, Lord Marcus.

Marcus : Mm…


27 juillet 2005

Isadora - Harken Rang C Isadora : Harken… Harken


Isadora - Harken

Rang C

Isadora : Harken…

Harken : Isadora…

Isadora : Où étiez-vous donc passé, Harken !? Cela fait un mois que Pherae vous attend… Qu’est-ce qui vous a détourné de vos devoirs de chevalier ?

Harken : Je suis confus. Tout est de la faute de mon insouciance. Comment va-t-on me punir ?

Isadora : Vous punir ? Harken, êtes-vous conscient des conséquences de vos actes ? Savez-vous ce que Pherae a enduré à cause de votre absence ? En avez-vous la moindre idée ? Je… J’étais morte d’inquiétude…

Harken : Isadora… Ne pleurez pas. C’est un calvaire que de voir votre si beau visage terni par les larmes. Je vous ai causé du tort. Pitié… Pardonnez-moi.

Isadora : Non. Je ne peux vous pardonner. J’ai trop souffert à cause de vous.

Harken : Je suis désolé…

Rang B

Harken : Isadora ! Je vous en prie, attendez ! Isadora !

Isadora : Harken…

Harken : Je suis profondément navré de vous avoir causé du tort. Je souffrirai aussi longtemps que nécessaire pour me faire pardonner… Mais dites-moi pourquoi, malgré mon retour, vous avez l’air si triste ?

Isadora : Harken… Allez-vous rester ici ? Ou allez-vous encore me laisser toute seule ?

Harken : Je promets de ne plus vous abandonner.

Isadora : Non, ne dites pas ça !

Harken : Isadora… Qu’y a-t-il, Isadora ?

Isadora : C’est terrible… Je ne veux pas me souvenir… Le jour où vous avez quitté Pherae avec Lord Elbert, je…

Harken :

Isadora : Vous allez encore me quitter. Vous allez encore disparaître. Quand j’y pense, j’ai si peur !

Harken : Isadora…

Isadora : Pitié, pardonnez-moi…

Rang A

Harken : Isadora…

Isadora : Harken…

Harken : Vous pleurez encore. Je suis navré… Tout est de ma faute.

Isadora :

Harken : Isadora, un mot de votre part et je quitte cette armée. Je suis un poids dont il vous faut vous détacher.

Isadora : Non ! Vous n’êtes pas un fardeau. Vous êtes quelqu’un de très cher à mon cœur. Depuis votre départ, je ne pense qu’à vous.

Harken : Isadora…

Isadora : Le jour où vous êtes parti avec Lord Elbert… c’était un jour de deuil pour tout Pherae. Je regrette tellement de ne pas être partie avec vous. Dans les moments difficiles, cette pensée m’obsédait ! Mourir est un sort plus doux que de vivre sans vous. Tellement plus doux… Voilà ce que je pensais.

Harken : Isadora…

Isadora : Harken… Vous souvenez-vous de ce que vous m’avez dit juste avant de partir ?

Harken : Comment pourrais-je l’oublier ? Je vous ai promis de revenir indemne. Et que dès mon retour à Pherae, je vous épouserais.

Isadora : Je vous ai cru. J’étais inquiète, mais je gardais la foi. Et, voilà que nous nous rencontrons de nouveau.

Harken (il s’avance) : Isadora… donnez-moi une autre chance ! A la fin de ce voyage, nous irons ensemble à Pherae… Nous donnerons une grande cérémonie ! Je tiendrai la promesse que je vous ai faite.

Isadora : Vous… me le promettez ?

Harken : Oui, je ne vous laisserai plus jamais seule. Nous serons toujours ensemble.

Isadora (elle s’avance) : Harken !


27 juillet 2005

Soutiens de Isadora - Isadora et Marcus - -


Soutiens de Isadora

- Isadora et Marcus -

- Isadora et Harken -


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