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Fire Emblem

15 novembre 2004

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15 novembre 2004

13 novembre 2004

Eliwood - Hector Rang C Hector : Ah, Eliwood !

Eliwood - Hector

 

Rang C

 

Hector : Ah, Eliwood ! Quel bonheur de vous voir vivant !

Eliwood : Hum... Cela vous surprend ?

Hector : Non, bien sûr que non. Je savais que vous vous en sortiriez.

Eliwood : Hector, attendez. Que vouliez-vous ?

Hector : Rien. Vous êtes en vie et plus aguerri que jamais. Je ne peux espérer plus. Je voulais juste m´assurer que vous faisiez face à la situation sans mon aide.

Eliwood : Moi aussi, je m´inquiète pour vous.

Hector : Bah, ne vous en faites pas pour moi. Je vais très bien. Je suis un grand gaillard, que rien ne peut intimider. Mais vous, vous êtes un être si sensible, Eliwood. Et vous n´êtes pas accoutumé aux longs voyages. Si vous continuez à vous surmener de la sorte, vous courez à votre perte.

Eliwood : Nous sommes tous faibles comparés à vous, Hector. Heureusement que la victoire ne dépend pas seulement de la force physique, n´est-ce pas ? Nous suivons un entraînement des plus drastique depuis que nous avons douze ans. Voilà mes résultats sur 30 duel : 14 victoires, 12 défaites, et 4 matchs nuls.

Hector : Quoi ? Vous vous trompez ! Il y a 31 duels, 13 contre 13 et 5 matchs nul !

Eliwood : Non, vous faites erreur, c´est moi qui aie raison.

Hector : Comment pouvez-vous en être aussi sûr ?

Eliwood : Qui ronflait si fort en classe que le plafond menaçait de s´écrouer ?

Hector : Ah, vous avez de la répartie. Un point pour vous.

Eliwood : Quoi qu´il en soit, cela me touche que vous vous souciiez de moi. Allons nous battre à présent !

Hector : Hé ! Attendez ! Diantre !

 

Rang B

 

Eliwood : Quelque chose ne va pas, Hector ? Viendriez-vous de bâiller ? Ce ne sont pas des manières à adopter au combat.

Hector : Ah, c´est juste que de drôles de rêves perturbent mon sommeil...

Eliwood : Des rêves ? Quel genre de rêves ?

Hector : Ne riez pas, ou je vous tue.

Eliwood : Je vous promets que je ne me moquerai pas.

Hector : Il y avait un homme, un géant à la barbe longue, qui portait une fille sur ses épaules. La fille l´appelait "père" et elle semblait respirer le bonheur. Puis son père lui répondait : "Qu'y a-t-il, ma chère enfant ?".Voilà, c´est tout. Mais c´était comme si... On aurait dit un vieux souvenir. Cet homme ressemblait tellement à mon père. Mais qui était la petite fille ? Elle était si mignonne.

Eliwood : De quelle couleur étaient ses cheveux ?

Hector : Euh... bleus.

Eliwood : Et les cheveux de l´homme ? Sa moustache ?

Hector : Ils étaient également bleus.

Eliwood : C´est alors une vision de votre propre avenir ! Une moustache broussailleuse ? Ah ah ah !

Hector : J'en étais sûr! Vous vous moquez ! Mais, si c´est mon avenir, je ne l´apprécie guère.

Eliwood : Ah bon, pourquoi ?

Hector : Cette enfant qui, soi-disant, serait ma propre fille... je la vois qui me quitte aux bras d´un garçon aux cheveux roux. Un garçon aux cheveux roux ! Oui, roux, je suis formel !

Eliwood : N'en tirez pas des conclusions trop hâtives ! Des garçons aux cheveux roux, ça court les rues...

Hector : Silence ! Ce garçon venait de Pherae. Vous avez beau être mon ami, je ne vous abandonnerai pas ma fille ! (il part)

Eliwood (seul) : Hector ! Espérons que votre rêve ne se réalisera pas. Pour mon salut.

 

Rang A

 

Eliwood : Hector, vous vous souvenez de cette époque ?

Hector : Quelle époque ?

Eliwood : Vous savez, ce qui s´est passer il y a quoi... Dix ans ? Lorsque les Lords de Lycia ont prêté serment à Ositia ? "Si un pays de Lycia est agressé, nous viendrons tous à son secours..." Vous vous rappelez ? Tandis que nos parents prêtaient serment, les enfants attendaient dans cette pièce.

Hector : Oui je me souviens. Nous devions nous comporter comme des enfants de la noblesse. Je devais rester sagement assis sur cette chaise et je faisais la conversation à quiquonque était assis à côté de moi. Vous saviez qu'Erik de Lahus était assis à ma droite ? Celui la avait l´art de parler pour ne rien dire !

Eliwood : En effet. C'est là que nous nous sommes tous rencontrés pour la première fois. Erik ignorait qui vous étiez. Et il cherchait à s'attirer les faveurs des nobles de Lycia.

Hector : Comme il m'agaçait quant-il scandait "Joignons nos forces pour le bien de tout Lycia" ! Il savait en faire de beaux discours ! Mais dès qu´il s'agissait de passer aux actes et d´affronter le danger, c´était lui le premier à se défiler.

Eliwood : Ah, ne soyer pas aussi sévère. Rappelez vous lorsqu'il a insisté pour que nous prêtions serment à la façon des frères de sang... Personne ne savait comment procéder.

Hector : Bah, tout le monde avait entendu parler de ces histoires, nous savions tous qu'il s'agissait d'une coutume guerrière. Chacun devait se couper la main puis serrer la main de ses frères… Quel homme refuserait de le faire ? Seulement un en a eut le courage.

Eliwood : Vous savez, je suis fier de vous avoir jadis serré la main. Nous sommes des amis animés du même rêve, de la même ambition. Quand l'un d'entre nous est en danger, l'autre risque sa vie pour le protéger… C'est pour cela que vous êtes venu n'est-ce pas ? Parce que vous n'avez pas oublié.

Hector : Je suis et je resterai toujours un homme de parole. Je compte tenir la promesse que je vous aie faite autrefois.

Eliwood : Moi aussi, je tiendrai ma promesse.

Hector : Alors longue vie à nous ! Nous nous entraiderons même quand nous serons vieux.

Eliwood : Marché conclu. Longue vie à nous, Hector.

Hector : Je vais tout faire pour, mais ne vous avisez pas de mourir avant moi. Je ne vous le pardonnerai jamais.

13 novembre 2004

Eliwood - Lyn Rang C Lyn : Eliwood ! Eliwood :

Eliwood - Lyn

 

Rang C

 

Lyn : Eliwood !

Eliwood : Lyndis ? Que se passe t´il ?

Lyn : J´observais votre jeu d´épée. Je suis impressionnée. J´ignorais que vous aviez autant de talent.

Eliwood : J´ai suivi un entraînement drastique et intensif. Mais... J´ignore ce que je vaux sur un vrai champ de bataille.

Lyn : Où avez vous appris ce style et ces techniques ?

Eliwood : C´est mon père qui m´a enseigné les bases. Puis, Marcus est devenu mon professeur. Par ailleurs, je m´entraîne régulièrement avec Hector.

Lyn : Vraiment ? Que diriez-vous d´un nouveau partenaire ?

Eliwood : Qui ? Vous ? Si vous voulez.

Lyn : Mais à condition que vous vous battiez dans le respect des règles. Quand je m´entraîne, je donne le meilleur de moi. Ne me faites pas de traitement de faveur parce que je suis une femme... Où vous risqueriez de le regretter amèrement.

Eliwood : Bien sûr, je comprends. Je serais prêt.

 

Rang B

 

Lyn : Eliwood, vous connaissez bien les autres Lords de Lycia, n´est-ce pas ? Y´en a t´il qui ont mon âge, mis à part Hector et vous ?

Eliwood : Bien sûr, plusieurs même.

Lyn : Et parmi ces gens, est-ce qu´il y a des femmes ? Si elles aiment l´escrime autant que moi, nous deviendrons très vite amies. Qu´en pensez-vous ? Quelques une en vue ?

Eliwood : Mm... Voyons voir...

Lyn : Quelqu´un qui maîtrise la lance, la hache ou l´arc fera également l´affaire, cela va de soit.

Eliwood : Je ne connais aucune dame douée en arts martiaux. Aucune aristocrate ne quitte son château pour s´adonner à ce genre d´activités. Je ne les croise que lors de banquets ou autres réceptions.

Lyn : Des banquets... Je vois. Ces endroits sont peu fréquentés par ceux qui viennent des plaines. Le chancelier Reissmann ma conseillée de me familiariser avec les mœurs de la cour. Je dois reprendre les fonctions de mon grand père malade. D´après le chancelier, je n´ai pas les manières qui siéent à une lady de Caelin. C´est pourquoi je voulais trouver une amie distinguée qui pourrait me les enseigner.

Eliwood : Personnellement, je trouve que vous avez le charisme qu´il faut pour endosser ce genre de fonctions.

Lyn : Pourriez-vous m´aider, Eliwood ? Faites de moi une grande dame !

Eliwood : Me croyez-vous capable d´une chose pareille ?

Lyn : A dire vrai... Non. Comme mon grand père doit avoir honte de sa petite fille. Ma défunte mère était douce, délicate et tellement jolie...

Eliwood : Vous êtes vous aussi très jolie, Lyndis.

Lyn : Comment ? Eliwood ! Que dites vous ?

Eliwood : Oui, je l´ai remarqué lors de notre dernier entraînement. Vos mouvements ressemblent a ceux du vent. C´est comme si vous dansiez.

Lyn : Mon jeu d´épée est magnifique, c´est un fait indéniable.

 

Rang A

 

Lyn : Dites-moi, Eliwood.

Eliwood : Ah, Lyndis ! Vous avez fait d´énormes progrès depuis notre dernier entraînement. J´ai du retard à rattraper !

Lyn : Oui, euh... A propos de l´entraînement... Je me demandais si vous ne pouviez pas m´enseigner autre chose.

Eliwood : Quoi donc ?

Lyn : Vous savez bien ! Vous ne pouvez pas m´apprendre comment devenir une dame mais... vous pourriez m´enseigner d´autres choses...

Eliwood : Comme les bonnes manières ? J´ai l´impression que c´est devenu une idée fixe. Vous devriez relativiser le problème, ça viendra avec le temps.

Lyn : Oui, mais ma route est longue ! Le titre de Lady me sied si mal. Mon grand père m´a acceptée, moi, une sang-mêlé, mais je crains que les autres nobles de Lycia ne soient pas aussi indulgents. Je ne veux pas que le sang de Sacae qui coule dans mes veines cause du tort à mon grand père.

Eliwood : Vous êtes si défaitiste... Rien à voir avec la Lyndis d´autrefois !

Lyn : Comment ?

Eliwood : Lorsque je vous ai vue pour la première fois, à Khathelet, j´étais subjugué par la force infinie qui émanait de vous. Si je ne m´abuse, vous étiez naguère très fière de votre vie et vous faisiez peu de cas de marques de noblesse... Vous étiez si orgueilleuse. Souvenez vous ! Vous n´êtes pas obligée d´être comme tout le monde, Lyndis.

Lyn : ... Vous avez raison. Je crois que j´avais perdu de vue l´essentiel. Merci Eliwood, je me sens un peu mieux.

Eliwood : Il n´y a pas de quoi.

Lyn : Lorsque je vivais dans les plaines, je méprisais la noblesse. Mais j´ai changé. C´est arrivé l´an passé, lorsque j´ai fait votre rencontre. Vous avez cru en moi. Vous m´avez soutenue.

Eliwood : Sans vous, je n´aurais jamais surmonté toutes ces épreuves. Nous sommes amis, c´est pourquoi nous nous entraidons ! Et si nous y allions, maintenant ?

Lyn : D´accord !

13 novembre 2004

Eliwood - Ninian Rang C Ninian : Lord Eliwood...

Eliwood - Ninian

 

Rang C

 

Ninian : Lord Eliwood...

Eliwood : Ninian.

Ninian : Je... Je voulais vous remercier.

Eliwood : Pourquoi me parlez-vous sur ce ton grave et solennel ?

Ninian : Lyn m'a tout avoué… C'était donc vous. C'est vous qui m'avez sauvez la vie l'an passé.

Eliwood : Oh, c'est de cela qu'il s'agit.

Ninian : Excusez-moi. J'avais perdu connaissance, et je crains de ne vous avoir jamais remercié, Eliwood.

Eliwood : Cessez de vous tourmenter. Je n'ai fait que mon devoir.

Ninian : Mais…

Eliwood : Mm… Ah, je sais ! A la prochaine occasion, vous danserez pour moi ! Je voudrais voir l'une de vos danses spéciales.

Ninian : Une danse spéciale, milord ?

Eliwood : Toutes mes excuses, je ne voulais pas vous brusquer !

Ninian : Non, pas du tout ! J'en serais ravie.

Eliwood : L'affaire est réglée, alors ! J'ai hâte d'y être !

Ninian : Oui, moi aussi.

 

Rang B

 

Eliwood : Chaque année à Pherae a lieu le grand festival des moissons. Tous les habitants se réunissent pour manger, boire et danser.

Ninian : Cela semble amusant !

Eliwood : J'aimerai que vous fassiez partie du spectacle, Ninian. Tout le monde serait enchanté de vous voir dansez, je crois. Votre performance de l'autre fois était d'une beauté captivante.

Ninian : Merci.

Eliwood : Ma mère adore danser. Elle prendra plaisir à vous voir danser, j'en suis certain. A chaque festival, elle danse toute la nuit comme si elle avait 20 ans. A chaque fois, mon père prend un air indigné, mais il finit toujours par céder et par danser avec elle jusqu'à l'aube. Ah…

Ninian : … …

Eliwood : Pardonnez-moi. Je ne voulais pas raviver le souvenir de mon père. Il doit suffisamment vous hanter.

Ninian : C'est surtout pour vous que cela doit être douloureux, Lord Eliwood…

Eliwood : Ninian, vous souvenez-vous de ce que je vous ai dit ? "La mort de mon père n'est pas de votre faute". Vous ne devez pas vous sentir coupable. Vraiment.

Ninian : Non, Lord Eliwood, vous vous trompez. Vous ne savez pas tout...

Eliwood : Comment ?

Ninian : Je vous ai cachée la...vérité.

Eliwood : Vous m'avez cachée la vérité ? Expliquez-vous !

Ninian : C'est juste que... Oh, je suis navrée !

Eliwood : Ninian ? Ninian, ne pleurez pas. Je ne sais pas ce qui est arrivé, mais...je sais que je ne supporte pas de vous voir pleurer.

 

Rang A

 

Eliwood : Ninian.

Ninian : … Lord Eliwood.

Eliwood : Je vous ai enfin rattrapée. Qu'y a-t-il, Ninian ? Pourquoi cet air rabattu ?

Ninian : Ne vous préoccuper pas de moi. Je n'en suis pas digne... Je ne mérite même pas ma place dans votre groupe, Lord Eliwood. Je vous ai menti.

Eliwood : Oui, vous avez déjà mentionné ce point. Ninian... Vous auriez donc des secrets ?

Ninian : Oui...

Eliwood : Mais vous ne pouvez pas me les dévoiler. Ai-je raison ?

Ninian : Oui...

Eliwood : Très bien.

Ninian : Comment ?

Eliwood : Si vous ne voulez pas en parler maintenant, je ne vous forcerais pas. Vous me direz tout quand vous serez prête.

Ninian : Mais... Je vous ai menti... J'ai été malhonnête avec vous et les autres.

Eliwood : Ninian, Je vous aime. Et mes sentiments sont immuables, quoiqu´il advienne.

Ninian : Lord Eliwood...

Eliwood : Peut m'importe votre secret, je vous aimerais toujours. Si quelque chose vous tourmente, laissez moi vous soulager. Je vous en prie ne pleurez plus. Je suis prêt à tout pour vous redonner le sourire. Jamais je n'ai autant chéri une femme, Ninian.

Ninian : Lord Eliwood... Je... Je ne sais que dire... Lord Eliwood... Lord Eliwood...

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13 novembre 2004

Eliwood - Marcus Rang C Marcus : Lord Eliwood !

Eliwood - Marcus

 

Rang C

 

Marcus : Lord Eliwood ! Vous n'êtes pas blessé ?

Eliwood : Marcus ? Merci, je vais bien.

Marcus : Ce n'est peut-être pas à moi d'en juger, mais… Lord Eliwood, vous devriez, je crois, vous retirer du combat. Laissez-moi m'occuper de l'ennemi ! Vous pourriez vous joindre à moi, Lord Eliwood, et voyager ainsi en toute sécurité...

Eliwood : Je crains que cela ne soit pas possible. J'ai une quête à accomplir. Je dois faire mon devoir.

Marcus : Lord Eliwood ! Vous vous battez avec maestria c'est indéniable. Vous avez gagné en maturité, ce qui m'enchante.

Eliwood : Ah, Marcus... Malgré le temps qui passe, vos sentiments à mon égard sont constants.

Marcus : Hélas, ils causent ma solitude. Le jour où vous êtes né, Lord Eliwood, je venais d'être sacré chevalier. Lorsque vous étiez petit, vous me suiviez partout !

Eliwood : Mon ami, vous me mettez dans l'embarras en évoquant ces souvenirs. S'il vous plait, arrêtez !

 

Rang B

 

Marcus : Lord Eliwood…

Eliwood : Marcus ?

Marcus : J'observais l'aisance avec laquelle vous progressiez dans votre quête…

Eliwood : Et ? Allons, vous savez que vous pouvez être franc et direct avec moi.

Marcus : Ah, c'est juste que vous avez tellement grandi… Quand je vois la ferveur et la force avec laquelle vous vous battez… Vous avez autant de prestance que votre père.

Eliwood : Vous le pensez vraiment ?

Marcus : Oui. A tel point qu'il m'est difficile de contenir ces larmes de bonheur…

Eliwood : Vous êtes trop sentimental Marcus. Maintenant que j'y pense Marcus, vous vous battiez aux cotés de mon père, n'est-ce pas ?

Marcus : Tout a fait. A cette époque je n'étais qu'un page. Mais sous le commandement de Lord Elbert, je maniais la lance du mieux que je pouvais.

Eliwood : Et vous vous battez à présent pour moi.

Marcus : J'ai fais une promesse à Lord Elbert. J'ai juré de veiller sur son fils jusqu'à son retour. Les chevaliers de Pherae ne faillissent jamais à leurs obligations vous savez.

Eliwood : Et c'est à vous que Pherae doit son existence, Marcus. Je vous en remercie.

Marcus : Il est inutile de me remercier. Je ne fais que mon devoir.

 

Rang A

 

Marcus : Lord Eliwood !

Eliwood : Marcus ! Content de voir que vous allez bien...

Marcus : Aaaah…

Eliwood : Marcus !? Qu'y a t il ?

Marcus : Vous soucier d'un simple valet au beau milieu du combat… Même dans un conflit aussi horrible que celui-ci, vous gardez votre grand cœur, Lord Eliwood.

Eliwood : Votre sentiment pourrait faire sourire une personne endeuillée, Marcus !

Marcus : Prenez soin de votre cœur, Lord Eliwood, vous allez en avoir besoin pour diriger Pherae.

Eliwood : Oui… Et bientôt nous allons ensemble retourner à Pherae. Rien que pour cela nous devons gagner ce combat. Si nous échouons, le pauvre cœur de ma mère ne s'en remettra pas.

Marcus : Soyez tranquille, jeune seigneur. Moi, Marcus, je vais vous protéger. J'ai juré que Lord Eliwood retournerait en vie à Pherae. Une fois chez vous, trouvez une gentille femme qui vous aidera dans vos taches de dirigeant. Vous suivrez ainsi les pas du regretté Lord Elbert. Et quand votre enfant sera en condition pour aller se battre, moi, Marcus, je serai là pour le soutenir et le protéger !

Eliwood : Marcus… Je ne connais aucun chevalier à Pherae qui mérite autant ce titre que vous. Je vous remercie pour tout ce que vous faites pour moi et pour tout ce que vous ferez pour mes enfants.

Marcus : Je me rappelle une chose… Lorsque Lord Elbert épousa Lady Eleanora, il avait votre âge, Lord Eliwood. En tant que fidèle serviteur de Pherae, je dois m'empresser de vous trouver une épouse digne de vous !

Eliwood : Marcus.

13 novembre 2004

Eliwood - Lowen Rang C Lowen : Lord Eliwood !

Eliwood - Lowen

 

Rang C

 

Lowen : Lord Eliwood ! Pitié, pardonnez-moi.

Eliwood : Comment ? Qu'y a-t il, Lowen.

Lowen : Vous devez me pardonnez ! Je… Je ne voulais pas… Je suis navré ! Oh… Si le général Marcus découvre la vérité… Ce sera fini pour moi !

Eliwood : Lowen ? Pourriez-vous me dire de quoi vous parlez ?

Lowen : Oui, milord… … … Ce matin… Euh… Avez-vous… Avez-vous déjeuné ?

Eliwood : Si j'ai déjeuné ?

Lowen : Je le savais ! Vous n'avez rien mangé !

Eliwood : Maintenant que vous en parlez, euh… J'étais très occupé. J'ai dû oublier.

Lowen : Je le savais ! C'est de ma faute… Je me suis levé trop tard ! Et Lord Eliwood est parti le ventre vide !

Eliwood : Lowen, s'il vous plait. Rater un repas n'est pas une grave affaire…

Lowen : Oh, détromper-vous ! J'ai manqué à mes devoirs. Je suis impardonnable ! "Avoir le ventre vide, c'est comme avoir le cœur vide". Vous connaissez le proverbe !

Eliwood : À dire vrai, c'est la première fois que je l'entends.

Lowen : Dans ce cas, vous devez le retenir. "Avoir le ventre vide, c'est comme avoir le cœur vide". Souvenez-vous en !

Eliwood : Oui.

Lowen : Bien ! Je vais de ce pas vous chercher de quoi vous sustenter ! ... … …

Eliwood : Lowen ? Lowen qu'avez-vous !? Lowen ! Lowen !!!

 

Rang B

 

Eliwood : Lowen ! Comment vous sentez-vous ?

Lowen : Ah, Lord Eliwood ! Comme je m'en veux de m'être évanoui devant vous !

Eliwood : Ce n'est rien, mais… Puis-je vous posez une question ?

Lowen : Bien sûr ! Faites !

Eliwood : Est-ce parce que vous n'avez rien mangé que vous avez perdu connaissance ?

Lowen : Oui, évidemment !

Eliwood : Je vois.

Lowen : Comment ?! Vous voulez dire, Lord Eliwood, que cela ne vous arrive jamais ?

Eliwood : Pas pour un repas ou deux de manqués.

Lowen : Vraiment !? Comme c'est étrange !

Eliwood : … …

Lowen : Quelque chose ne va pas, Lord Eliwood ?

Eliwood : Juste une sensation de vertige.

Lowen : Lord Eliwood ! Peut-être que …

Eliwood : Oui ?

Lowen : Peut-être que vous n'avez pas pris votre déjeuner ? Ah ! Et moi qui vous mettais justement en garde ! Attendez-moi ici ! Je cours vous préparez quelque chose à manger !

Eliwood : Lowen, attendez … … … Je crois que je ferais mieux d'aller avertir Marcus.

 

Rang A

 

Eliwood : Lowen.

Lowen : Ah ! Lord Eliwood ! Comment allez-vous aujourd'hui ? Avez-vous pris votre déjeuner ?

Eliwood : Oui.

Lowen : Vraiment ? Heureux de l'entendre !

Eliwood : Lowen, je voulais vous demander …

Lowen : Est-ce que c'était bon ? Je suis particulièrement fier de mon travail, aujourd'hui.

Eliwood : Attendez… Tous ces petits plats… C'est vous qui les préparer ?

Lowen : Oui, pourquoi !?

Eliwood : Vous, un simple écuyer… Mais pourquoi ?

Lowen : Mon père était le chef cuisinier du précédent marquis de Pherae. En d'autres termes, mon père cuisinait pour votre grand-père. Du moins, jusqu'au jour où on l'as mis à la porte… Votre père apprécie, lui aussi, cette cuisine, vous savez. Donc, chaque fois que je pouvais me joindre à lui dans ses voyages au domaine, c'est moi qui préparais tous ses repas !

Eliwood : Oh, je comprends…

Lowen : J'ai quelques difficultés à cerner vos goûts, Lord Eliwood. Pendant notre voyage, je n'ai fait que concocter les plats préférés de votre père, Elbert. J'espère qu'ils sont agréables à votre palais ?

Eliwood : Un écuyer de votre classe aux cuisines… Vous êtes déjà si occupé à monter la garde et à patrouiller, où trouver-vous donc le temps ? Vraiment, vous n'êtes pas obligé !

Lowen : Depuis la disparition de Lord Elbert… Vous semblez avoir perdu l'appétit. Lady Eleanora et le général Marcus étaient très inquiets. Mais quand vous êtes parti en voyage et que je me suis mis à cuisiner pour vous, nous avons remarqué un changement… Désormais, vous semblez manger avec appétit, voilà pourquoi je continue à préparer vos repas.

Eliwood : Lowen… Je l'ignorais !

Lowen : Je vous en prie, n'y pensez plus ! Voir Lord Eliwood en bonne santé nous comble de joie.

Eliwood : Merci. Dorénavant, je vous promets de toujours finir mon assiette, que j'aie faim ou non ! Ce que vous avez préparé ce matin était un régal.

Lowen : Merci milord !

13 novembre 2004

Eliwood - Fiora Rang C Eliwood : Dites-moi,

Eliwood - Fiora

 

Rang C

 

Eliwood : Dites-moi, Fiora, vous êtes-vous accoutumée à notre groupe ?

Fiora : Oui. Merci, milord. Les mercenaires s´adaptent très vite aux changements.

Eliwood : Oui, vous êtes une cavalière pégase d´Ilia, n´est-ce pas ? Il n´y a qu´à vous regarder combattre pour juger du prestige de cette armée.

Fiora : Des louanges de votre part me vont droit au cœur, milord. Je vais tout faire pour ne pas trahir votre confiance.

Eliwood : Pas de formalisme entre nous ! Vous êtes mon égale et nous défendons la même cause.

Fiora : Moi, une égale... Mais, milord.

Eliwood : J´aime à penser que chaque unité de ma troupe est un ami, peu importe son âge, son sexe ou sa caste. Vous êtes tous mes amis et chacun est irremplaçable.

Fiora : … …

Eliwood : Vous avez l´air étonnée. "Encore un aristocrate idéaliste qui n´a pas les pieds sur terre..." C´est ce que vous pensez, n´est-ce pas ?

Fiora : Pas du tout ! Je suis étonnée car jamais je n´aurais pensée qu´un noble de Lycia puisse adopter pareille attitude.

Eliwood : Vous avez raison, c´est une attitude peu commune. Mais c´est vraiment ce que je pense.

Fiora : Lord Eliwood ! Je... Vous comprenez, je... Personnellement, j´aime cette façon de penser, bien qu´elle soit utopique.

Eliwood : Permettez-moi de le prendre comme un compliment.

 

Rang B

 

Eliwood : Fiora, dites-moi... Vous êtes la soeur aînée de Florina, n´est-ce pas ?

Fiora : En effet. Elle est d´une timidité maladive. De plus elle est trop obsédée par le regard des autres. J´étais morte d´inquiétude le soir où elle est partie pour son entraînement.

Eliwood : Elle a de la chance d´avoir une soeur comme vous.

Fiora : Ah, si c´était vrai.

Eliwood : Vous êtes toutes les deux des cavalières ? C´est rare à Lycia.

Fiora : Oui, cette envie de devenir cavalière pégase nous habite depuis notre plus tendre enfance. Je ne voulais pas envoyer ma propre sœur au front... Mais à Ilia, à part devenir mercenaire, peu d´options s´offrent à nous.

Eliwood : Je vois. Mon père m´a jadis parlé de votre pays. Les terres d´Ilia sont toute l´année recouvertes par la neige, disait-il. Il ajoutait que la vie n´était pas facile là-bas. C´est à cause de ses mercenaires que le pays d´Ilia s´est attiré le mépris et la méfiance des autres pays.

Fiora : Oui... Mais c´est quelque chose que nous ne pouvons pas changer. Nous aurons beau verser des torrents de larmes, la glace ne fondra pas. Mieux vaut que je me batte pour mon pays et que je devienne un membre respectable de la cavalerie d´Ilia.

Eliwood : Fiora, vous avez vraiment le sens des responsabilités. Mais ne soyez pas trop dure avec vous-même. Si vous en faites trop et que vous échouez, vous perdrez tout.

Fiora : Oui... Mais permettez-moi de vous renvoyer la remarque, Lord Eliwood.

 

Rang A

 

Eliwood : Fiora.

Fiora : Oui, Lord Eliwood ?

Eliwood : Je me suis rendu compte d´une chose en vous observant vous battre. Je crains que vous ne travailliez trop dur. Pour un guerrier, le repos est capital. Pensez-y.

Fiora : Merci, milord. Mais... Je suis de la cavalerie pégase d´Ilia. Quand je pense à mon peuple, je ne me sens pas le droit de prendre du repos.

Eliwood : Pourtant...

Fiora : Mes performances ont des répercussions sur tous les cavaliers d´Ilia. Plus je fournis d´efforts et plus prestigieuse sera la récompense que j´emmènerai dans mon pays. Et plus grande sera la joie de mon peuple.

Eliwood : Et que faites-vous de votre bonheur ?

Fiora : Comment ?

Eliwood : Je sais qu´Ilia est un pays pauvre. Et je sais que vous pensez en permanence à votre sœur. Mais n´oubliez pas que vous aussi, vous avez le droit au bonheur. Si vous mourrez, tous vos efforts auront été vains...

Fiora : Lord Eliwood...

Eliwood : Pardonnez-moi de n´avoir pas attendu le moment opportun pour vous en parler... Mais en vous observant, je n´ai pas pu me contenir. Je voudrais éviter que quelqu´un de votre talent soit malheureux. Ce serait à mes yeux une véritable tragédie.

Fiora : … … … Je dois admettre que c´est la première fois qu´on me dit des choses pareilles.

Eliwood : … …

Fiora : Bref, ne perdons pas trop de temps ici.

Eliwood : Oui, vous avez raison.

Fiora : Je dois y aller.

Eliwood : Ah, attendez Fiora !

Fiora : Oui ?

Eliwood : Je voudrais que vous restiez près de moi.  Ainsi je pourrai... Je pourrai vous protéger.

Fiora : Lord Eliwood... Oui je... Je comprends.

6 novembre 2004

Eliwood <-> Hector Rang C Hector : Ah,


Eliwood <-> Hector

Rang C

Hector : Ah, Eliwood ! Quel bonheur de vous voir vivant !

Eliwood : Hum... Cela vous surprend ?

Hector : Non, bien sûr que non. Je savais que vous vous en sortiriez.

Eliwood : Hector, attendez. Que vouliez-vous ?

Hector : Rien. Vous êtes en vie et plus aguerri que jamais. Je ne peux espérer plus. Je voulais juste m´assurer que vous faisiez face à la situation sans mon aide.

Eliwood : Moi aussi, je m´inquiète pour vous.

Hector : Bah, ne vous en faites pas pour moi. Je vais très bien. Je suis un grand gaillard, que rien ne peut intimider. Mais vous, vous êtes un être si sensible, Eliwood. Et vous n´êtes pas accoutumé aux longs voyages. Si vous continuez à vous surmener de la sorte, vous courez à votre perte.

Eliwood : Nous sommes tous faibles comparés à vous, Hector. Heureusement que la victoire ne dépend pas seulement de la force physique, n´est-ce pas ? Nous suivons un entraînement des plus drastique depuis que nous avons douze ans. Voilà mes résultats sur 30 duel : 14 victoires, 12 défaites, et 4 matchs nuls.

Hector : Quoi ? Vous vous trompez ! Il y a 31 duels, 13 contre 13 et 5 matchs nul !

Eliwood : Non, vous faites erreur, c´est moi qui aie raison.

Hector : Comment pouvez-vous en être aussi sûr ?

Eliwood : Qui ronflait si fort en classe que le plafond menaçait de s´écrouer ?

Hector : Ah, vous avez de la répartie. Un point pour vous.

Eliwood : Quoi qu´il en soit, cela me touche que vous vous souciiez de moi. Allons nous battre à présent !

Hector : Hé ! Attendez ! Diantre !

 

Rang B

 

Eliwood : Quelque chose ne va pas, Hector ? Viendriez-vous de bailler ? Ce ne sont pas des manières à adopter au combat.

Hector : Ah, c´est juste que de drôles de rêves perturbent mon sommeil...

Eliwood : Des rêves ? Quels genres de rêves ?

Hector : Ne riez pas, ou je vous tue.

Eliwood : Je vous promets que je ne me moquerai pas.

Hector : Il y avait un homme, un géant à la barbe longue, qui portait une fille sur ses épaules. La fille l´appelait "père" et elle semblait respirer le bonheur. Puis son père lui répondait : "qu'y a t-il, ma chère enfant ?".Voilà c´est tout. Mais c´était comme si... On aurait dit un vieux souvenir. Cet homme ressemblait tellement a mon père. Mais qui était la petite fille ? Elle était si mignonne.

Eliwood : De quelles couleurs étaient ses cheveux ?

Hector : Euh... bleus.

Eliwood : Et les cheveux de l´homme ? Sa moustache ?

Hector : Ils étaient également bleus.

Eliwood : C´est alors une vision de votre propre avenir ! Une moustache broussailleuse ? Ah ah ah !

Hector : J'en étais sûr! Vous vous moquez ! Mais si c´est mon avenir, je ne l´apprécie guère.

Eliwood : Ah bon, pourquoi ?

Hector : Cette enfant qui, soi-disant, serait ma fille... Je la vois qui me quitte aux bras d´un garçon aux cheveux roux. Un garçon aux cheveux roux ! Oui, roux, je suis formel !

Eliwood : N'en tirez pas des conclusions trop hâtives ! Des garçons aux cheveux roux, ça court les rues...

Hector : Silence ! Ce garçon venait de Pherae. Vous avez beau être mon ami, je ne vous abandonnerai pas ma fille !

Eliwood : Hector ! Espérons que votre rêve ne se réalisera pas, pour mon salut.

 

Rang A

 

Eliwood : Hector, vous vous souvenez de cette époque ?

Hector : Quelle époque ?

Eliwood : Vous savez, ce qui s´est passer il y a quoi... Dix ans ? Lorsque les Lords de Lycia ont prêté serment à Ositia ? "Si un pays de Lycia est agressé, nous viendrons tous à son secours..." Vous vous rappelez ? Tandis que nos parents prêtaient serment, les enfants attendaient dans cette pièce.

Hector : Oui je me souviens. Nous devions nous comporter comme des enfants de la noblesse. Je devais rester sagement assis sur cette chaise et je faisais la conversation à quiquonque était assis à côté de moi. Vous saviez qu'Erik de Lahus était assis à ma droite ? Celui la avait l´art de parler pour ne rien dire !

Eliwood : En effet. C'est là que nous nous sommes tous rencontrés pour la première fois. Erik ignorait qui vous étiez. Et il cherchait à s'attirer les faveurs des nobles de Lycia.

Hector : Comme il m'agaçait quant-il scandait "Joignons nos forces pour le bien de tout Lycia" ! Il savait en faire de beaux discours ! Mais dès qu´il s'agissait de passer aux actes et d´affronter le danger, c´était lui le premier à se défiler.

Eliwood : Ah, ne soyer pas aussi sévère. Rappelez vous lorsqu'il a insisté pour que nous prêtions serment à la façon des frères de sang... Personne ne savait comment procéder.

Hector : Bah, tout le monde avait entendu parler de ces histoires, nous savions tous qu'il s'agissait d'une coutume guerrière. Chacun devait se couper la main puis serrer la main de ses frères… Quel homme refuserait de le faire ? Seulement un en a eut le courage.

Eliwood : Vous savez, je suis fier de vous avoir jadis serré la main. Nous sommes des amis animés du même rêve, de la même ambition. Quand l'un d'entre nous est en danger, l'autre risque sa vie pour le protéger… C'est pour cela que vous êtes venu n'est-ce pas ? Parce que vous n'avez pas oublié.

Hector : Je suis et je resterai toujours un homme de parole. Je compte tenir la promesse que je vous aie faite autrefois.

Eliwood : Moi aussi, je tiendrai ma promesse.

Hector : Alors longue vie à nous ! Nous nous entraiderons même quand nous serons vieux.

Eliwood : Marché conclu. Longue vie à nous, Hector.

Hector : Je vais tout faire pour, mais ne vous avisez pas de mourir avant moi. Je ne vous le pardonnerai jamais.


6 novembre 2004

Marcus &lt;-&gt; Eliwood Rang C Marcus : Lord


Marcus <-> Eliwood

Rang C

 

Marcus : Lord Eliwood ! Vous n'êtes pas blessé ?

Eliwood : Marcus ? Merci, je vais bien.

Marcus : Ce n'est peut-être pas à moi d'en juger, mais… Lord Eliwood, vous devriez, je crois vous retirer du combat. Laisser moi m'occuper de l'ennemi ! Vous pourriez vous joindre à moi, moi Lord Eliwood, et voyager ainsi en toute sécurité.

Eliwood : Je crains que cela ne soit pas possible. J'ai une quête à accomplir. Je dois faire mon devoir.

Marcus : Lord Eliwood ! Vous vous battez avec maestria c'est indéniable. Vous avez gagné en maturité ce qui m'enchante.

Eliwood : Ah Marcus. Malgré le temps qui passe, vos sentiments à mon égard sont constants.

Marcus : Hélas il cause ma solitude. Le jour ou vous êtes né Lord Eliwood, je venais d'être sacré chevalier. Lorsque vous étiez petit vous me suiviez partout !

Eliwood : Mon ami vous me mettez dans l'embarras en évoquant ces souvenirs. S'il vous plait, arrêtez.

 

Rang B

 

Marcus : Lord Eliwood…

Eliwood : Marcus ?

Marcus : J'observais l'aisance avec laquelle vous progressiez dans votre quête…

Eliwood : Et ? Allons, vous savez que vous pouvez être franc et direct avec moi.

Marcus : Ah, c'est juste que vous avez tellement grandi… Quand je vois la ferveur et la force avec laquelle vous vous battez… Vous avez autant de prestance que votre père.

Eliwood : Vous le pensez vraiment ?

Marcus : Oui. A tel point qu'il m'est difficile de contenir ces larmes de bonheur…

Eliwood : Vous êtes trop sentimental Marcus. Maintenant que j'y pense Marcus, vous vous battiez aux cotés de mon père, n'est-ce pas ?

Marcus : Tout a fait. A cette époque je n'étais qu'un page. Mais sous le commandement de Lord Elbert, je maniais la lance du mieux que je pouvais.

Eliwood : Et vous vous battez à présent pour moi.

Marcus : J'ai fais une promesse à Lord Elbert. J'ai juré de veiller sur son fils jusqu'à son retour. Les chevaliers de Pherae ne faillissent jamais à leurs obligations vous savez.

Eliwood : Et c'est à vous que Pherae doit son existence, Marcus. Je vous en remercie.

Marcus : Il est inutile de me remercier. Je ne fais que mon devoir.

 

Rang A

 

Marcus : Lord Eliwood !

Eliwood : Marcus ! Content de voir que vous allez bien...

Marcus : Aaaah…

Eliwood : Marcus !? Qu'y a t il ?

Marcus : Vous soucier d'un simple valet au beau milieu du combat… Même dans un conflit aussi horrible que celui-ci, vous gardez votre grand cœur, Lord Eliwood.

Eliwood : Votre sentiment pourrait faire sourire une personne endeuillée, Marcus !

Marcus : Prenez soin de votre cœur, Lord Eliwood, vous allez en avoir besoin pour diriger Pherae.

Eliwood : Oui… Et bientôt nous allons ensemble retourner à Pherae. Rien que pour cela nous devons gagner ce combat. Si nous échouons, le pauvre cœur de ma mère ne s'en remettra pas.

Marcus : Soyez tranquille, jeune seigneur. Moi, Marcus, je vais vous protéger. J'ai juré que Lord Eliwood retournerait en vie à Pherae. Une fois chez vous, trouvez une gentille femme qui vous aidera dans vos taches de dirigeant. Vous suivrez ainsi les pas du regretté Lord Elbert. Et quand votre enfant sera en condition pour aller se battre, moi, Marcus, je serai là pour le soutenir et le protéger !

Eliwood : Marcus… Je ne connais aucun chevalier à Pherae qui mérite autant ce titre que vous. Je vous remercie pour tout ce que vous faites pour moi et pour tout ce que vous ferez pour mes enfants.

Marcus : Je me rappelle une chose… Lorsque Lord Elbert épousa Lady Eleanora, il avait votre âge, Lord Eliwood. En tant que fidèle serviteur de Pherae, je dois m'empresser de vous trouver une épouse digne de vous !

Eliwood : Marcus.


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